Bien qu'il existe des agents efficaces pour induire ou maintenir la rémission des patients atteints, certains sont réfractaires aux traitements conventionnels. Depuis quelques années seulement, ces patient bénéficient de nouvelles avenues thérapeutiques (NAT) ciblant les molécules pro-inflammatoires précises. Par contre, il est observé qu’environ un tiers des patients utilisateurs de ces NAT n’y répondent pas ou souffrent d’effets secondaires importants. Cette variabilité de la réponse peut être attribuée à des facteurs interindividuels comme, entre autres, la présence de variations génétiques.